
Enfin la bague au doigt; celle offerte par mes parents pour mon anniversaire. Expédiée par colis, entre boites de pâtés (assez pour tenir jusqu'en 2012) et journaux subversifs anti-sarko. Comme un goût de déjà vu qu'il est bon de savourer.
Hier c'était Pancake day, équivalent de la chandeleur. Ma théorie concernant les pancakes: les Anglais ne sont pas assez doués en cuisine pour réaliser des galettes aussi fines que les crêpes d'où l'épaisseur.
Pancake day coïncide aussi avec notre Mardi Gras; c'est le même principe, utiliser tous les aliments caloriques stockés dans les placards avant les Cendres et la pseudo-diète jusqu'à Pâques (quelqu'un suit encore ces genres de principes?). En tous cas, si lorsqu'il s'agit de se priver, personne n'est partant, lorsqu'il s'agit de faire sauter les pancakes c'est une autre histoire. J'ai pas encore eu le temps d'en faire...
Rien de neuf.
Jono est parti hier en Argentine voir ses gamins. Trois semaines de vacances au Earl Spencer. Ca va être long et triste sans lui, qui va me divertir? Avant, il me surnommait « Mélody »; désormais je suis « Symphony ». Il se renouvelle sans cesse...
La 5ème de Beethoven pour la route.
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